Un retour tranquimenté

(Le mot tranquimenté, pour ceux qui se demanderait se que ça veut dire, est inventé de ma part et rassemble deux mots: Tranquille et mouvementé.)

Après plusieurs jours à s'être déplacés à travers plusieurs pays, en l'occurence surtout les Bahamas et la France, Mathéo revenait enfin chez lui. En fait, pas vraiment, puisqu'il était déjà venu porter ses bagages plus tôt pour ensuite filer tout droit à l'université pour de nouveau se déplacer en allant chez Roxann pour enfin revenir dans sa villa qu'il avait acheté l'année passée et ou son petit frère et lui habitait. En parlant du fréro, lorsqu'il avait franchi le seuil de la bâtisse quelques heures auparavant, il avait deviner aussitôt qu'une fiesta avait eu lieu la nuit passé et, ce, sans son consentement. Bon, George n'avait pas vraiment le talent pour demander et puis il n'avait pas pu avoir son cellulaire sur lui pendant tout son voyage. Et puis, ce n'était pas si grave puisque maintenant, tout avait l'air en ordre et rien ne pouvait laisser entrevoir ce qu'il avait vu plus tôt.

*Au moins, il prend ses reponsabilités et je suis fier de lui pour ça. J'espère juste la prochaine fois qu'il fera le ménage avant que je n'arrive.*, pensa-t-il avec amusement

N'entendant que le silence dans la maison, il sut qu'il était sortit pour aller faire il ne savait quoi. Il alla voir sur le frigo et un mot y était accroché. Il le prit et il commença à le lire.

Citation :

Eh fréro, j'suis sortit en ville. J'devrais rentrer aux p'tites heures du matin demain.

Il ne put s'empêcher de rire face à ce qu'il venait de lire. Tous les deux aimaient bien faire la fête et s'amuser comme il le pouvait, mais il fallait toujours qu'il essaie de le surclasser. C'était comme s'il voulait lui prouver quelque chose, lui prouver qu'il pouvait être meilleur que lui dans au moins une chose. En tout cas, il recolla le papier sur le frigo et il s'en alla dans sa chambre ou était déposé ses bagages. Cela ne faisait que quelques secondes qu'il avait commencé à vider ses bagages qu'il entendit quelqu'un sonner ou frapper (au choix) à la porte.